Napoléon, rentrant ivre mort, éructa tout son fiel en malaxant sa petite gousse fétide entre ses aisselles nauséabondes et putrides, à l'odeur infâme de doubitchous qui emmanait furieusement et inexorablement la troupe de bisons américains déportés d'Irlande lors de la 3e mi-temps d'un match de cricket qui se déroulait sous la pluie alors qu'un arménien puriste se trémoussait sur un tube de Nana Mouskouri version ballet turc ce qui me fait penser que demain je reppartirais nonchalamment sur la pointe du grand mais non moins équilibré Zorba le grec qui à ce moment là astiquait énergiquement la gigantesque et napoléonienne jument travestie en une sorte d'écumoire gothique macabre dans une convolution
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on se décide à mettre de la ponctuation dans notre phrase ?!!!

