Les gens travaillent généralement 8 heures par jour, soit un tiers de la durée totale d'une journée. Donc en un an, la durée totale du travail équivaut au tiers de 365 jours, soit environ 122 jours. Mais on ne travaille pas les deux derniers jours de la semaine, ce qui représente 104 jours par an. En retranchant donc 104 de 122, il ne reste que 18 jours. Or le cumul des jours fériés et des congés représente plus de 18 jours dans l'année; donc, personne ne travaille.
Le roi barbare Chee Rak aimerait que son pays compte plus d'hommes que de femmes, trouvant que ces dernières sont peu utiles à la nation (son jugement n'engage que lui). Il édicte donc une loi obligeant les couples à ne plus avoir d'enfants dès que naît une fille, mais par contre à continuer à en avoir tant qu'une fille n'est pas née. Ainsi se dit-il, il y aura des familles de plusieurs garçons, tandis qu'il n'y aura aucune famille de plus d'une fille: on aura donc plus de garçons que de filles.
A votre avis, la méthode du roi est-elle efficace ?
Le roi barbare a tort, car si l'on suppose que les garçons naissent avec la même probabilité que les filles, le fait de rajouter ou non des naissances ne change rien.
rien à faire ... on y revient toujours : NI DIEU, NI MAITRE !
Aristide discute avec Pacôme. "Il y a de plus en plus d'humains sur terre", dit-il, "Cela m'inquiète. Il n'y aura pas de ressources pour tout le monde".
Mais Aristide le détrompe: "Au contraire, il y a de moins en moins d'humains sur terre. Réfléchis un instant: tu as eu deux parents ? Qui eux-mêmes avaient deux parents, donc quatre grands-parents, et seize arrière grands-parents, et 32 arrière arrière grands parents. Bref, deux fois plus d'ancêtres à chaque génération précédente. Or, en doublant à chaque génération, le nombre d'ancêtres progresse très vite. Donc, la population humaine devait être incroyablement élevée il y a de ça plusieurs siècles, bien plus élevée que maintenant !".
Quelle est la faille dans le raisonnement d'Aristide ?
Aristide a raison au début de son raisonnement: si l'on remonte quelques générations en arrière, on double le nombre d'ancêtres à chaque étape. Mais vient un moment où l'on ne double plus.
Supposons par exemple que l'on ait effectivment doublé le nombre d'ancêtres jusqu'à la 7ième génération, cad que l'on considère les 128 ancêtres de Pacôme, sept générations en arrière. Ces 128 personnes ont effectivement chacune deux parents, mais il est très probable que les parents de certains soient aussi les parents d'autres.
Il ne peut par exemple y avoir que 240 personnes seulement qui constituent l'ensemble des parents des 128 ancêtres de Pacôme, sept générations en arrière.
rien à faire ... on y revient toujours : NI DIEU, NI MAITRE !
Chaque enfant ne peut avoir que deux parents, mais deux parents peuvent avoir plus que 1 enfant -> ça rejoint ce que Nexus dit, il y a des parents en commun à un moment ou à un autre.
"L'absence totale d'humour dans la bible est une des choses les plus étranges de la littérature." (A. N. Whitehead).
Séraphin Kroquerie, mage réputé, se vante de pouvoir répondre avec exactitude à n'importe quelle question concernant les évènements futurs. Mais Onésimme, perspicace, trouve une question simple sur un évènement futur à laquelle S. Kroquerie ne peut nécessairement pas répondre. Quelle est cette question ?
On peut voir dans la gare de Warrington (Cheshire, Angleterre, 83 000 habitants) des panneaux d’interdiction portant la mention : "No Kissing" (Ne pas s’embrasser), et représentant une tête de femme et d’homme se faisant face. Pourquoi ?
Bob a décidé de se marier. Mais avant de faire sa demande, il veut en parler à sa mère...
- Tu sais Maman, j'ai rencontré une fille superbe, je voudrais l'épouser mais j'aimerais quand même que tu la rencontres avant.
- Oui, si tu veux mon fils dit la mère.
- Voilà ce qu'on va faire, répond Bob, samedi prochain, je vais venir avec trois copines. Une d'elle est la femme que j'aime. Je ne te dis pas laquelle et on en parle après, d'accord ?
- Oui, si tu veux mon fils, dit la mère.
Samedi arrive, Bob vient avec ses trois copines toutes belles, intelligentes etc. Le dîner se passe, les filles partent.
- Alors Maman, dit Bob, est-ce que tu penses avoir trouvé laquelle est la
femme de ma vie ?
Et la mère répond...
- Ce ne serait pas celle qui avait la robe bleue ?
Bob stupéfait...
- C'est bien elle. Mais comment as-tu fait ? Elles sont toutes les trois superbes, gentilles, etc... Comment as-tu fait pour l'identifier tout de suite ?
Et la mère répond...
- J'sais pas... J'l'aime pas !