pour ceux qui aiment rigoler
Modérateur : Modérateurs
Une belle-mère décide de savoir si ses trois gendres l'aiment ou au moins l'apprécient... Le lendemain en se promenant au bord du fleuve avec son premier gendre, elle glisse dans l'eau et commence a se noyer, le gendre sans hésitation plonge et sauve sa belle-mère. Le lendemain, devant la maison, il trouve une voiture neuve, une petite Peugeot 206 avec un mot sur le pare brise :
 merci de la part de ta belle-mère qui t'aime.
Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre, celui ci plonge et sauve sa belle-mère. lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot 206 avec un mot sur le pare brise
 merci de la part de ta belle-mère qui t'aime.
Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l'eau et commence à se noyer et lui regarde sa belle-mère se noyer en se disant :
 depuis le temps que j'attendais ca
Le lendemain, il voit une Porshe toute neuve devant sa maison avec un petit mot :
 merci de la part de ton beau-père qui t'aime
 merci de la part de ta belle-mère qui t'aime.
Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre, celui ci plonge et sauve sa belle-mère. lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot 206 avec un mot sur le pare brise
 merci de la part de ta belle-mère qui t'aime.
Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l'eau et commence à se noyer et lui regarde sa belle-mère se noyer en se disant :
 depuis le temps que j'attendais ca
Le lendemain, il voit une Porshe toute neuve devant sa maison avec un petit mot :
 merci de la part de ton beau-père qui t'aime
AMES SENSIBLES S'ABSTENIR !
Une histoire vraie, dont tout le monde a entendu parler. on a obtenu les dossiers confidentiels des légistes... (...)
Un matin, sur le coup des cinq heures, Mlle Berthe Mastard, paisible retraitée, fut réveillée par une envie d'uriner irrépressible. Mlle Mastard marcha en zigzaguant jusqu'aux toilettes, et à peine s'était-elle assise sur le siège, que de son vagin sortit un bruit de pet monstrueux.
Paralysée par la douleur, Mlle Mastard continua a pousser pendant quelques minutes et elle finit par faire jaillir une marée brûlante de saletés boueuses tandis que, livide, elle s'agrippait aux murs des toilettes. Elle se mit ensuite à crier si sauvagement que les voisins appelèrent police qui dès son arrivée sur les lieux appela les médecins.
Lorsque les gens du SAMU arrivèrent, ils trouvèrent Mlle Mastard couchée sur le sol, inconsciente, vêtue uniquement de sa chemise de nuit. Le long de sa jambe dégoulinait un genre de sirop vert-maronnasse.
Les médecins voulurent la déposer sur une civière, et au moment ou ils saisirent les jambes de l'infortunée, l'orifice de son vagin béant laissa apparaître une créature pas plus grande que l'extrémité d'un doigt. Elle s'extrait en rampant de l'endroit et tomba sur le sol en faisant un "plop" dégoûtant.
L'équipe médicale stupéfaite regardait la créature qui baignait dans une enveloppe de mucus sur le carrelage. C'était une crevette de vase. Elle se contorsionnait d'avant en arrière, cherchant vraisemblablement a retourner dans le milieu liquide.
Un des infirmiers qui sentait la nausée l'envahir alla jusqu'aux toilettes. Lorsqu'il eut la tête au-dessus de la cuvette, ce qu'il vit était tellement horrible qu'il bondit d'un coup en arrière. La cuvette toute entière grouillait de bébés crevettes !
Si vous pensez que c'est dégoûtant, attendez de lire la fin :
La mort de Mlle Mastard fut attribuée à la combinaison de son état de choc et de sa chute. Lorsqu'elle se releva des toilettes pour voir ce qu'elle avait fait,elle cria si fortement que ça alerta les voisins, et tomba la tête la première sur le carrelage.
Après enquête, le médecin de la police donna ses conclusions :
Deux jours avant l'accident tragique, Mlle Mastard avait acheté un homard vivant chez le poissonnier. Le soir, alors qu'elle prenait son bain, elle inséra la queue du crustacé dans son vagin dans le but d'en tirer du plaisir. A ce stade, elle agita la flamme d'un briquet devant la tête de l'animal, entraînant des mouvements de queue violents.
Les médecins trouvèrent une vidéo X lesbienne dans le magnétoscope et la télé était positionnée à l'autre bout de la baignoire.
Le homard fut retrouvé dans la poubelle de la cuisine. On décela des traces d'A.D.N. de Mlle Berthe Mastard et quelques-uns de ses poils pubiens étaient coincés dans les jointures de la queue de l'animal. La tête du crustacé montrait par ailleurs des traces de brûlures.
On autopsia le homard. Dans son tube digestif, on retrouva des chapelets d'oeufs de crevettes. Le médecin légiste dit que le homard les avait ingérés juste avant sa capture et qu'ils n'avaient pas eu le temps d'être tous digères.
Lorsque Berthe Mastard brûla la tête de la bestiole, celle-ci, stressée, libéra prématurément par ses voies naturelles les oeufs de crevettes dans le vagin de la vieille fille.
On sait que chez certaines crevettes,les oeufs peuvent éclore en moins de deux jours, particulièrement si le milieu qui les héberge recèle de bonnes conditions. Or une température de 37 degrés et un pH vaginal se révélèrent être ce qu'il y avait de mieux pour incuber les oeufs de crevette. En l'espace d'une nuit, les oeufs ont éclos et les crevettes commencèrent a se développer à vitesse grand V. On imagine la douleur de la pauvre Mlle Mastard lorsqu'en se réveillant, elle du mettre au monde quelque chose comme 1000 crevettes dans ses toilettes...
Mais l'histoire n'est pas terminée.
Savez-vous comment le médecin légiste a pu retrouver la trame de ce scénario incroyable ?
C'est parce qu'avant de mourir, la vieille Mlle Mastard trempant son index dans ses glaires eut tout juste le temps d'écrire sur le carrelage :
HOMARD M'A TUEE
Une histoire vraie, dont tout le monde a entendu parler. on a obtenu les dossiers confidentiels des légistes... (...)
Un matin, sur le coup des cinq heures, Mlle Berthe Mastard, paisible retraitée, fut réveillée par une envie d'uriner irrépressible. Mlle Mastard marcha en zigzaguant jusqu'aux toilettes, et à peine s'était-elle assise sur le siège, que de son vagin sortit un bruit de pet monstrueux.
Paralysée par la douleur, Mlle Mastard continua a pousser pendant quelques minutes et elle finit par faire jaillir une marée brûlante de saletés boueuses tandis que, livide, elle s'agrippait aux murs des toilettes. Elle se mit ensuite à crier si sauvagement que les voisins appelèrent police qui dès son arrivée sur les lieux appela les médecins.
Lorsque les gens du SAMU arrivèrent, ils trouvèrent Mlle Mastard couchée sur le sol, inconsciente, vêtue uniquement de sa chemise de nuit. Le long de sa jambe dégoulinait un genre de sirop vert-maronnasse.
Les médecins voulurent la déposer sur une civière, et au moment ou ils saisirent les jambes de l'infortunée, l'orifice de son vagin béant laissa apparaître une créature pas plus grande que l'extrémité d'un doigt. Elle s'extrait en rampant de l'endroit et tomba sur le sol en faisant un "plop" dégoûtant.
L'équipe médicale stupéfaite regardait la créature qui baignait dans une enveloppe de mucus sur le carrelage. C'était une crevette de vase. Elle se contorsionnait d'avant en arrière, cherchant vraisemblablement a retourner dans le milieu liquide.
Un des infirmiers qui sentait la nausée l'envahir alla jusqu'aux toilettes. Lorsqu'il eut la tête au-dessus de la cuvette, ce qu'il vit était tellement horrible qu'il bondit d'un coup en arrière. La cuvette toute entière grouillait de bébés crevettes !
Si vous pensez que c'est dégoûtant, attendez de lire la fin :
La mort de Mlle Mastard fut attribuée à la combinaison de son état de choc et de sa chute. Lorsqu'elle se releva des toilettes pour voir ce qu'elle avait fait,elle cria si fortement que ça alerta les voisins, et tomba la tête la première sur le carrelage.
Après enquête, le médecin de la police donna ses conclusions :
Deux jours avant l'accident tragique, Mlle Mastard avait acheté un homard vivant chez le poissonnier. Le soir, alors qu'elle prenait son bain, elle inséra la queue du crustacé dans son vagin dans le but d'en tirer du plaisir. A ce stade, elle agita la flamme d'un briquet devant la tête de l'animal, entraînant des mouvements de queue violents.
Les médecins trouvèrent une vidéo X lesbienne dans le magnétoscope et la télé était positionnée à l'autre bout de la baignoire.
Le homard fut retrouvé dans la poubelle de la cuisine. On décela des traces d'A.D.N. de Mlle Berthe Mastard et quelques-uns de ses poils pubiens étaient coincés dans les jointures de la queue de l'animal. La tête du crustacé montrait par ailleurs des traces de brûlures.
On autopsia le homard. Dans son tube digestif, on retrouva des chapelets d'oeufs de crevettes. Le médecin légiste dit que le homard les avait ingérés juste avant sa capture et qu'ils n'avaient pas eu le temps d'être tous digères.
Lorsque Berthe Mastard brûla la tête de la bestiole, celle-ci, stressée, libéra prématurément par ses voies naturelles les oeufs de crevettes dans le vagin de la vieille fille.
On sait que chez certaines crevettes,les oeufs peuvent éclore en moins de deux jours, particulièrement si le milieu qui les héberge recèle de bonnes conditions. Or une température de 37 degrés et un pH vaginal se révélèrent être ce qu'il y avait de mieux pour incuber les oeufs de crevette. En l'espace d'une nuit, les oeufs ont éclos et les crevettes commencèrent a se développer à vitesse grand V. On imagine la douleur de la pauvre Mlle Mastard lorsqu'en se réveillant, elle du mettre au monde quelque chose comme 1000 crevettes dans ses toilettes...
Mais l'histoire n'est pas terminée.
Savez-vous comment le médecin légiste a pu retrouver la trame de ce scénario incroyable ?
C'est parce qu'avant de mourir, la vieille Mlle Mastard trempant son index dans ses glaires eut tout juste le temps d'écrire sur le carrelage :
HOMARD M'A TUEE
L'heure commence.
L'institutrice:
- Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture américaine. Qui a
dit:
DONNEZ-MOI LA LIBERTÉ OU LA MORT ?" Pas un murmure dans la salle.
Suzuki lève la main: "Patrick Henry, 1775, à Philadelphia"
- Très bien Suzuki !
- Et qui a dit: L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER ?
- Abraham Lincoln, 1863 à Washington, répond Suzuki L'institutrice
regarde les élève et dit :
- Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l'histoire américaine
mieux que vous !
On entend alors une petite voix au fond de la classe:
- Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !
- Qui a dit ça ? S'insurge l'institutrice.
Suzuki lève la main et sans attendre, dit:
- Général Mc Arthur, ! 1942, au Canal de Panama et Lee Iacocca, 1982,
lors de l'assemblée générale de General Motors.
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret :
- y'm'fait vomir...
L'institutrice de hurler:
- Qui a dit ça ?
Et Suzuki:
- George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner
officiel à Tokyo en 1991.
Un des élèves se lève alors et crie
- pomp'moi l'gland !!
Et Suzuki, sans ciller:
- Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison
Blanche à Washington.
Un autre élève lui hurle alors:
- Suzuki, espèce de merde !
Et Suzuki:
- Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002.
La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd
connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît:
- MERDE, j'ai encore jamais vu un bordel pareil !
Et Suzuki:
- Chirac, après s'être vu remettre les comptes de la Sécu par le premier
ministre Raffarin.
L'institutrice:
- Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture américaine. Qui a
dit:
DONNEZ-MOI LA LIBERTÉ OU LA MORT ?" Pas un murmure dans la salle.
Suzuki lève la main: "Patrick Henry, 1775, à Philadelphia"
- Très bien Suzuki !
- Et qui a dit: L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER ?
- Abraham Lincoln, 1863 à Washington, répond Suzuki L'institutrice
regarde les élève et dit :
- Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l'histoire américaine
mieux que vous !
On entend alors une petite voix au fond de la classe:
- Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !
- Qui a dit ça ? S'insurge l'institutrice.
Suzuki lève la main et sans attendre, dit:
- Général Mc Arthur, ! 1942, au Canal de Panama et Lee Iacocca, 1982,
lors de l'assemblée générale de General Motors.
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret :
- y'm'fait vomir...
L'institutrice de hurler:
- Qui a dit ça ?
Et Suzuki:
- George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner
officiel à Tokyo en 1991.
Un des élèves se lève alors et crie
- pomp'moi l'gland !!
Et Suzuki, sans ciller:
- Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison
Blanche à Washington.
Un autre élève lui hurle alors:
- Suzuki, espèce de merde !
Et Suzuki:
- Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002.
La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd
connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît:
- MERDE, j'ai encore jamais vu un bordel pareil !
Et Suzuki:
- Chirac, après s'être vu remettre les comptes de la Sécu par le premier
ministre Raffarin.
C'est une blonde et une brunette qui passent devant la vitrine d'un fleuriste.
La blonde fait remarquer à la brunette Regarde, c'est pas ton mari, là, qui achète des fleurs ?
La brunette répond : Ah merde ! Il m'achète encore des fleurs sans aucune raison.
La blonde est surprise : Ben voyons, t'aimes pas recevoir des fleurs ?
Et la brunette répond : Ben oui, j'aime ça. Sauf que mon mari a toujours une idée derrière la tête, après m'avoir acheté des fleurs, si tu vois ce que je veux dire, et je n'ai pas envie de passer les trois prochains jours couchée sur le dos, les jambes en l'air.
Alors la blonde, perplexe, lui répond : Pourquoi, t'as pas de vase ?
La blonde fait remarquer à la brunette Regarde, c'est pas ton mari, là, qui achète des fleurs ?
La brunette répond : Ah merde ! Il m'achète encore des fleurs sans aucune raison.
La blonde est surprise : Ben voyons, t'aimes pas recevoir des fleurs ?
Et la brunette répond : Ben oui, j'aime ça. Sauf que mon mari a toujours une idée derrière la tête, après m'avoir acheté des fleurs, si tu vois ce que je veux dire, et je n'ai pas envie de passer les trois prochains jours couchée sur le dos, les jambes en l'air.
Alors la blonde, perplexe, lui répond : Pourquoi, t'as pas de vase ?
On continue avec les blondes, même si c'est un peu fade
Deux vieilles filles blondes se cherchent une voiture d'occasion. Finalement, elles trouvent une bonne affaire, paient et vont s'asseoir dedans. Au bout de vingt minutes, le vendeur voit les deux filles encore assises dans la voiture qui n'a pas encore bougé.
Mes demoiselles, est-ce que vous regrettez votre achat ?
Oh non, non !
Alors pourquoi ne partez-vous pas ?
C'est parce qu'on a entendu dire que lorsqu'on achète une voiture d'occasion, on se fait toujours baiser. Alors on attend !

Deux vieilles filles blondes se cherchent une voiture d'occasion. Finalement, elles trouvent une bonne affaire, paient et vont s'asseoir dedans. Au bout de vingt minutes, le vendeur voit les deux filles encore assises dans la voiture qui n'a pas encore bougé.
Mes demoiselles, est-ce que vous regrettez votre achat ?
Oh non, non !
Alors pourquoi ne partez-vous pas ?
C'est parce qu'on a entendu dire que lorsqu'on achète une voiture d'occasion, on se fait toujours baiser. Alors on attend !
Réveil stief !!!
Bon,
c'est la grosse inondation, les gendarmes passent dans toutes les maisons évacuer les gens mais le vieux jules refuse de partir : "je ne suis pas inquiet, Dieu me sauvera" dit-il aux pandores.
L'eau monte, la catastrophe se précise, un canot de la sécurité civile passe, Jules est à l'étage et leur crie : "je ne suis pas inquiet, dieu veille sur moi, allez vous en !"
Les ennuis se précisent, Jules est sur le toit de sa maison, l'hélicoptère des pompiers vient le chercher mais Jules refuse le harnais et leur crie "Pas besoin de vous, Dieu veille sur moi !".
Le lendemain, on retrouve le cadavre de jules à la dérive et celui-ci vient d'arriver devant Dieu le père et il est furieux "tu m'as abandonné alors que je comptais sur toi!!".
Et Dieu lui répond : "Ah tu es gonflé, toi ; je t'ai envoyé les gendarmes, la protection civile puis les pompiers et tu viens râler !"
Bon,
c'est la grosse inondation, les gendarmes passent dans toutes les maisons évacuer les gens mais le vieux jules refuse de partir : "je ne suis pas inquiet, Dieu me sauvera" dit-il aux pandores.
L'eau monte, la catastrophe se précise, un canot de la sécurité civile passe, Jules est à l'étage et leur crie : "je ne suis pas inquiet, dieu veille sur moi, allez vous en !"
Les ennuis se précisent, Jules est sur le toit de sa maison, l'hélicoptère des pompiers vient le chercher mais Jules refuse le harnais et leur crie "Pas besoin de vous, Dieu veille sur moi !".
Le lendemain, on retrouve le cadavre de jules à la dérive et celui-ci vient d'arriver devant Dieu le père et il est furieux "tu m'as abandonné alors que je comptais sur toi!!".
Et Dieu lui répond : "Ah tu es gonflé, toi ; je t'ai envoyé les gendarmes, la protection civile puis les pompiers et tu viens râler !"
C'est un mari qui rentre chez lui à l'improviste. Bref, il rentre dans la chambre et s'étonne de trouver sa femme entièrement nue...
- Ben ma chérie...Pourquoi es-tu toute nue ?
- C'est parce que tu m'achète plus de robe, alors forcément, j'ai plus rien à me mettre !
- Tu te fous de moi ?
Il ouvre la penderie et compte les robes sur les cintres :
- Une robe...deux robes...trois robes...pardon monsieur...quatre robes...
- Ben ma chérie...Pourquoi es-tu toute nue ?
- C'est parce que tu m'achète plus de robe, alors forcément, j'ai plus rien à me mettre !
- Tu te fous de moi ?
Il ouvre la penderie et compte les robes sur les cintres :
- Une robe...deux robes...trois robes...pardon monsieur...quatre robes...