Oui, ben moi qui passe en terminal S si... ben je voit simplement que la rentré va etre chaude ........ avec des greves de prévu ... lol ....... Ca va pas etre le top pour l'année du bac .. mais bon .. on va faire avec !!!!
spider41 a écrit :Oui, ben moi qui passe en terminal S si... ben je voit simplement que la rentré va etre chaude ........ avec des greves de prévu ... lol ....... Ca va pas etre le top pour l'année du bac .. mais bon .. on va faire avec !!!!
@ ++
C'est manifeste qu'il y a du boulot pour les profs de français même en terminale S.
ouais, attention au phénomène passager !
Perso, je n'y crois pas trop ... et je me méfie de l'info travestie par les médias.
Le danger est que bcp de jeunes risquent de se ruer vers ce type d'études qui débouchent sur un horizon très fermé (en terme d'ouverture de choix professionnels autres que l'enseignement) et une carrière TRES plane (lassitude de faire du "sur place"). C'est un job fortement déconsidéré par l'opinion publique et patati et patata ...
Attention aussi à cette manipulation médiatique qui se fait l'écho de désirs politiques (neutralité et objectivité de la presse !?). L'histoire récente depuis 13 ans dans l'enseignement en gelbique a démontré le "dédain" de la classe politique envers l'enseignement à de mutiples reprises; ne citons que 1990 et 1996 : plus de 10.000 lienciements (sur un volume de 50.000 profs en communauté française)... aujourd'hui, on t'accueille les bras ouverts à grands renforts de pubs fallacieuses ("les enseignants, c'est fou ce que nous leur devons" ...) et demain, ils te virent comme un malpropre
Bref, si j'avais 18 ans maintenant, je m'orienterais vers une autre formation ... plus épanouissante.
rien à faire ... on y revient toujours : NI DIEU, NI MAITRE !
NEXUS6 a écrit :ouais, attention au phénomène passager !
Perso, je n'y crois pas trop ... et je me méfie de l'info travestie par les médias.
Le danger est que bcp de jeunes risquent de se ruer vers ce type d'études qui débouchent sur un horizon très fermé (en terme d'ouverture de choix professionnels autres que l'enseignement) et une carrière TRES plane (lassitude de faire du "sur place"). C'est un job fortement déconsidéré par l'opinion publique et patati et patata ...
Attention aussi à cette manipulation médiatique qui se fait l'écho de désirs politiques (neutralité et objectivité de la presse !?). L'histoire récente depuis 13 ans dans l'enseignement en gelbique a démontré le "dédain" de la classe politique envers l'enseignement à de mutiples reprises; ne citons que 1990 et 1996 : plus de 10.000 lienciements (sur un volume de 50.000 profs en communauté française)... aujourd'hui, on t'accueille les bras ouverts à grands renforts de pubs fallacieuses ("les enseignants, c'est fou ce que nous leur devons" ...) et demain, ils te virent comme un malpropre
Bref, si j'avais 18 ans maintenant, je m'orienterais vers une autre formation ... plus épanouissante.
je sens une amertume profonde.Restons positiif, même si les temps ne sont guère propices à une amélioration de l'enseignement.Gageons que le renouveau du cadre professoral permettra à une nouvelle mentalité de se développer in et hors des murs des écoles.
Malgré tout je reste persuadé que,vu la situation, cela ne peut que s'améliorer
Courage Nex!
(en parlant d'une ancienne compagne) Son silence est de loin ce qu'elle avait de plus éloquent.
