oui m'sieur
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
Je ne suis qu'un vermisseau sans peau qui rampe sur les cuisses velues de notre Empereur bien aimé; jamais assez ne saurai ramper tant j'ai péché ! Ma bave bienfaisante ne suffira à calmer sa peau irritée. Que les 11.000 verges de Hospodar me fustigent acerbement; je me repents avec humilité d'avoir imposé mes vices après le couvre feu et j'accepte tous les sévices tant mérités avec joie; que votre courrou ne soit pas dou !
rien à faire ... on y revient toujours : NI DIEU, NI MAITRE !